Interview de Laurent Petitguillaume pour la pièce UN AIR DE FAMILLE
17/09/2014 15:17
Tout pourrait avoir un air de famille tranquille, si ce jour-là les rancoeurs n'étaient elles aussi au rendez vous car Betty quitte Denis, Arlette quitte Henry, Philippe si brillant, voit sa carapace se fissurait après une prestation télé plus ou moins convaincante et l'anniversaire de Yoyo tourne au vinaigre.
Qui en sortira intact ? Peut-être le chien mais surement pas cette famille qui a quand même "un air de nos propres familles".
Tout le succès de la pièce est là, l'analyse très fine de ce que nous sommes et de nos rapports aux autres, avec l'excellente plume à l'humour corrosif de Bacri-Jaoui.
Un classique rendu indémodable par le film de Klapisch. Molière 94 de la meilleurs comédie.
A l'occasion de la reprise de la pièce de UN AIR DE FAMILLE vendredi 19 septembre à LA COMEDIE SAINT MICHEL, la rédaction InterMedias a joint l'animateur et comédien LAURENT PETITGUILLAUME.
Vendredi soir, c'est la réunion hebdomadaire de la famille Ménard. Comme tous les vendredis le rendez vous a lieu "au père tranquille", le bistrot tenu par Henry Ménard, digne successeur de son défunt père. Sont attendus, La mère, possessive et directive, Betty, la soeur garçon manqué, Philippe, le frère admiré, et Yoyo, sa femme soumise qui fête ce soir là son anniversaire.
Présent également Denis, le serveur, indolent de nature, en retard Arlette la femme d'Henry.
Tout pourrait avoir un air de famille tranquille, si ce jour-là les rancoeurs n'étaient elles aussi au rendez vous car Betty quitte Denis, Arlette quitte Henry, Philippe si brillant, voit sa carapace se fissurait après une prestation télé plus ou moins convaincante et l'anniversaire de Yoyo tourne au vinaigre.
Qui en sortira intact ? Peut-être le chien mais surement pas cette famille qui a quand même "un air de nos propres familles".
Tout le succès de la pièce est là, l'analyse très fine de ce que nous sommes et de nos rapports aux autres, avec l'excellente plume à l'humour corrosif de Bacri-Jaoui.
Un classique rendu indémodable par le film de Klapisch. Molière 94 de la meilleurs comédie.